le Parolier du Baobab,
L'hymne à l'africaine
Naissance de la démocratie sur une page blanche photocopier pleine de ratures pour représenter la gérance de l' Afrique.
Les pages ont chantés la liberté, le développement, l’égalité sans aucunement oublier de citer l’ardeur et le courage de nos parents qui ont, au pris de leur vie, donné la copie conforme de leur démocratie à titre du notre.
Ils ont oublié sans doute de citer nos rites, coutumes et habitudes. Ils n’ont pas honoré nos ancêtre dans leur démocratie en nous rappelant que les notre proféraient des paroles que le vent emportait et nous laissant sans source.
le verbe qu'il fallait donner le la peinture et il en existait bien des teinturier.
Ils ont chanté et dansé au nom de cette liberté que l’occident s’efforce de nous rappeler à chaque pas.
Ne leur en voulez pas, en réalité, lorsque les choses tournent mal, ils consultent les vieux sorcier des villages, en disant qu'ils ont recours au gardien de la terre de nos ancêtre qu’aux textes. ces sorciers!
Dites leurs ce que nous n’osons dire en face, éloignons nous de cette farce diluvienne de la démocratie. On nous mène de la charrue au bœuf, de la valeur du peuple à la force des textes. J’ai perdu un peut de mon nom sur un papier, je me demande pourquoi me plaindrais je du fait que mes frères sont appeler sans papier. Qu’ils taisent leur grande gueule, ils on oublier nous avoir dit que lorsqu’un vieillard mourait en Afrique c’est une bibliothèque qui partait en fumé ? Demandez à MC solar, ressent-il le souffle du désert à travers ses vers ? Laissez-moi redire une seconde fois que les rois d’Afrique nous chantent l’hymne de la vraie Afrique dans l’éloge du griot moderne. Dites à l’Afrique de se fonder sur son propre passé car la démocratie nous a arracher les pieds du sol qu’on piétine. Au nom de la mère patrie, mère Afrique. Pour ma Côte d’Ivoire.
mon chant
mon chant est une mélodie,
une phase qui s'imbibe du temps.
user sur le papier une pensée qui ressemble à l'ombre de l'homme qui s'exprime.
comme derrière la toile, les trace de doight de l'artiste que l'admirateur ne pense pas.
j'ai eu peur de ne vous devoir qu'une breve ouverture.
je pense avoir raison de vous,
trop de menteurs qui danssent au pas de mon chant.
ils dansent faux.
peut être que moi aussi je cahnte faux.
vous ne direz pas faus des mots écrit.
lisez les et dites de vous si les mots sont faux.
je vais faire un pas de plus. je vous attends à la soirée...
excusez moi, la nostalgie des temps est fini. plus de soirée mais de nuit aux night club.
serez vous prêt à me tenir compagnie pour une soirée dans la nuit au night club?
venez, je vous attends.
ils parlent d'Intégration Africaine
ils parlent de caravanne d'intégration comme si un vahicule passerait passerait nous ramasser port à porte.
j'aime bien ce sens du fait rêver, j'aime bien l'image qu'on veut se donner, j'aime bien l'envers du décor de l'autre Afrique.
regardez si vous avez bien le regard à proximité de vous.
c'est bien de faire de cette intégration une politique audiovisuelle, importer dans les courroies de nos civilisation la marque d'un neo africanisme. c'est bien de voloir monter son village avec la main droite.
franchement, moi j'ai peur parce que vous êtes capable de nous trahir comme les autres qui vous ont précéder, qui ont lutter pour donner jour à la négritude. vous savez bien que je ne suis pas nègre parce que je ne suis pas descendant de ceux emporter dans les négriers. libérer moi de la belle manière. pour cela, je n'aurais à faire des promesse de pitié ni moins me présenter avec un costume pendant que notre coton est exporter pour tuer nos tisserands.
j'ai une pensée positive des Africain, c'est pourquoi vous voulez donner une vision positive de nos rues et nos quartier, de la souffrance et la misère qu'on pilote dans les logiciel comme du manga en 5D. prenez soins d'oser donner parole à qui vous croiser sans censures.
c'est mon opinion.
celui qui s'intègre Africain mais pas à votre morsure.
je pense libre comme ma pensée, je la déclamme saine comme je respire les verbes du sous le baobab du Gbèdiseur de Djamadougou.
même si l'ai que je respire est pollué.
j'ai envie de vivre Africain.
CHEZ NOUS
Le soleil nous dit bonjour de son éclat, notre ombre nous dessine tantôt long tantôt court sur le sol. On passe toute la journée sans se souvenir avoir vue notre ombre nous poursuivre comme de la colle. Ce qui nous préoccupe le plus, c’est que la chance met un billet dans notre bol.
on se prépare à accueillir les enfants qui reviendrons de l’école quand leur maman aussi nous attend pour poser sa casserole. Là on sait qu’on a plus le temps de redresser nos cols.
Comme un marchant qui troc de la graine au paysan qui sans doute ira gribouiller le sol,
Je viens d’un lieu ou les rues sont poussiéreuses, une cité ou les gens ne pense qu’à l’argent Un quartier ou sont entasser que des pauvres qui ne reconnaissent pas leurs pauvreté Les gens qui ne se réunissent que pour ouvrir la porte à ceux qui regagnent le village des croyants Je vis dans un pays ou on cotise que pour s’acheter un cercueil.
C’est chez nous que les héritiers attendent la mort du père pour trouver leur liberté, Je sais que nous sommes appeler à devenir des grand, des majeurs, des responsable mais chez nous, ils ont demandé au travailleur de dicter son salaire pour qu’on le paie à peine.
Voilà qu’hier un dealer vient nous proposer de l’argent, un politiciens vient à son tour nous proposer la liberté et un penseur vient nous proposer du travail. ne voulant plus travailler, on pensent à la vie facile parce que tout le monde veut devenir riche au jour le jour.
N’importe qui ne peut être riche, mais un riche peut surgir de toute part. Ils passent leurs temps à voler et quand tu les parle, ils te disent « ça ne va pas quelque part ». Ils sont libres de faire ce qu’ils consentent à leur libre arbitre.
Vous ne savez pas que nous savons que pour trouver sa liberté il faut travailler pour avoir beaucoup d’argent mais qu’avoir beaucoup d’argent ne liber personne ? La liberté est chez nous, ou je pense comme un animal en respectant les règles de ma nature et mon environnement. ils se sont condamnés dans leurs systèmes de récession ou chacun tue pour être tuer et sans même se rendre compte. au pire il faut les voire entrain de chercher les mystère à travers les portail des pasteurs, des Imames et des charlatants.
Venez chez nous, on dit que la pluies ne respect plus ses rendez vous d’en-temps. Chez nous tout est polluer, on respire la merde dans une vie de merde pour un salaire de merde.
On prétend chercher la paix alors qu’on dort en paix et on se réveil le matin en chassant les titres des journées parce qu’on souhaite le pire. Des pessimistes qui vénèrent les politiciens comme des divins avec leurs langues de bois. Ils mystifient les gens et finissent par perdre leurs sesns d'humanisme. Des associateurs, des menteurs, des hypocrites, des traites. capitaliste aux ideo fashistes.
Nous savons bien qu’on nous a toujours mentis si non, ils laisseraient de la place à la révolution de l’agriculture africaine. Ils ne nous ont appris qu’à produire de la matière première transformable et ils nous en verront des armes et de la ferraille. J'ai honte comme mon frère qui dit qu'il n'est pas fier d'être Africain. mais qui est fier de faire la honte de ce monde?
rêver des dignitaires royales aux pouvoirs mais ceux là sont pire que corrompus., la preuve en est-il qu'ils on ventu leurs trône. Peut être que ceux qui parlent de Dieu au jour le jour pourront être exemplaires mais non, ce sont ceux là même qui, quand ils voient les politiciens, ils mentent à pisser dans leurs robes comme l’avocat qui défend le criminel au nom de la démocratie devant un juge dictée par le gouvernement.
Franchement dit, chez nous, c’est pire que du cinéma. Les rôles sont bien dictés.
Rahim’O
Faisons une Image
L’art est long la vie est courte.
Consacrer toute une vie à écrire l'art de la vie est en plus éterniser une vie.
La vivre comme on la décrit, l’avoir vécu comme elle est décrite.
Sur les sons, tu me dicte des mots.
ta music peut être consolatrice, donneuse de confiance, faiseuse de vie.
Moi j'ai un stylo pour dessiner les mots qui pensent sur scène et toi aux doits douces tels la plume caresse le papier à l'encre pour adoucir les mœurs.
je te cherche pour trouver ensemble le peintre qui fera notre image.
Nous ferons le film de tout les temps pour tout les gens en tous sens.
Poètes de la plume, poètes du crin, poète de l’image, poète du verbe.
Je veux parler en toute langue.
Je ne parle pas pour ceux qui ont faim ni pour les obèse ni pour ceux qui jouissent d’une manière ou d’une autre uniquement.
J'en fais un de toutes celles-ci.
Voilà comme une music qui a fait le tour du monde, un artiste connue de toutes les cults, un tableau qui garde un exemplaire dans toutes les salles.
Un spectacle gigantesque vu par tout le monde.
si nous faisons un.
pour le Parolier
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